René Fontaine du Rotary club de Barcelonnette est parti le 16 août
pour un périple à vélo de 3 587 km, à travers 48 villes françaises,
au profit de la recherche médicale au nom de deux causes : le cancer
pédiatrique et le syndrome de Joubert. Il est suivi en voiture par son ami
Daniel Le Deunff dont la petite fille, Nolwënn, est concernée par l’une de ces
maladies.
Des parains connus
Toutes
les villes traversées sont des villes rotariennes. Les districts des différents
clubs de France feront appel à la générosité de grandes entreprises locales.
Cette opération aura pour marraines Valérie Fignon et Sophie Anquetil dont les
noms résonnent dans le monde du cyclisme français. Le journaliste Patrick
Montel est également associé à cette cause.
Passionné
de vélo, René Fontaine ancien pâtissier maître chocolatier, retraité de 75 ans,
confie : « Nous devons poursuivre collectivement nos efforts pour
aider les chercheurs à sauver la vie des enfants atteints par ce fléau. Nous
attendons un accueil chaleureux des clubs cyclistes qui seront présents aux
départs et arrivées de chaque étape. Je souhaite que ce périple soit porteur
d’espoir. »
Daniel
Le Deunff est président de l’association “SOS Nolwënn contre la différence”,
créée pour combattre le syndrome de Joubert, maladie orpheline à caractère
neurologique et physiologique. En tant qu’ancien marathonien et adjoint aux
sports de la ville de Nice, il est « heureux de faire équipe avec son ami René
et remercie le Rotary club de nous accompagner et de nous apporter son soutien
logistique ».
Les dons seront reversés aux services
pédiatriques de Nice et de Paris
Empêchés
par la crise sanitaire de mener à bien toutes les actions souhaitées, les
Rotariens espèrent une belle mobilisation pour ce projet. Pour le soutenir, les
dons sont à envoyer par chèque à François Olive 2 bis, quartier Ernest
Pellotier 04 400 Barcelonnette à l’ordre de RYAction (défiscalisation à
60 %). Tous les dons seront reversés au service de chirurgie pédiatrique
de la Fondation Lenval à Nice, pour le cancer et au service neuropédiatrique et
génétique dirigé par le Dr Lydie Burglen de l’hôpital Trousseau à Paris, pour
le syndrome de Joubert.